La situation des enfants défavorisés a beaucoup augmenté ces cinq dernières années. La maladie à coronavirus est venue accentuer le phénomène. Cette situation ne laisse pas indifférent SOS Villages d’Enfants. Afin d’aider à donner des refuges à ces enfants, L’organisation internationale entreprend des actions.
La pandémie mondiale a augmenté le taux de vulnérabilité de plusieurs enfants dans le monde entier. Selon un rapport de SOS villages d’enfants, 200 millions d’enfants ont été atteints dans le monde. Ces enfants grandissent donc sans prise en charge et sont contraints à l’abandon de l’éducation afin de se mettre au travail à un âge très précoce pour survivre. Ce qui inquiète le plus, est le virage de quelques-uns vers la rue, le banditisme et d’autres formes plus graves de vices.
Pour réduire l’évolution du phénomène, SOS Villages d’Enfants attaque le problème à la racine en venant en aide aux familles, en les renforçant dans leurs quotidiens. « Notre mission, est de voir chaque enfant grandir et de s’épanouir en famille », affirme Dr Dereje Wordofa, président international de SOS Villages d’Enfants.
L’organisation offre une famille alternative aux enfants qui en sont privés. L’initiative vise la prévention de l’abandon des enfants. Une association de femmes fut créée dans ce cadre depuis 2018 dans le village de Djagblé Gbamakopé, un village où le phénomène est récurrent selon Awoute akosiwa mawusi, coordinatrice locale renforcement de la famille à SOS village d’enfants Lomé.
«Après étude, nous avons remarqué que le village de Gbamakopé a un fort taux en matière d’abandon d’enfants. C’est un village travailleur mais, qui ne bénéficie pas des fruits de son travail, favorisant donc le phénomène. Nous avons décidé de travailler avec eux, surtout les femmes, pour les sensibiliser sur le problème et réfléchir ensemble sur les actions à mener pour développer leurs rendements », affirme t-elle.
Toujours dans le même cadre, SOS Villages d’Enfants Togo essaie de s’assurer que les institutions de formations offrent une éducation adaptée pour affronter les défis des enfants et des jeunes. Il avait initié un projet de cantine scolaire à l’école primaire publique de Gbamahlan. Le projet qui vise à freiner aux élèves l’abandon de l’école, par manque de nourriture, offre des plats chauds à 916 écoliers au quotidien.
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